Tommy Rizzitelli a commencé à jouer de la batterie à  l’âge de 6 ans, auprès de son père, Bunny Rizzitelli, batteur iconique en France (Space Art, Christophe, Jean Michel Jarre).
Il lui a transmis sa passion, son groove et son exigence du jeu et du son.

Tommy est le batteur des groupes underground Faze, Low Parade & Caïman et il collabore avec un grand nombre d’artistes en studio dans un univers Rock et Electro.

Il s’ouvre à la composition tout particulièrement avec son collectif Goyokin ou en solo au travers de ses constantes recherches sonores qui lui ont ouvertes les portes du musée de Valence au travers de plusieurs cartes blanches musicales dont la dernière autour de l’expositions évènement : l’Univers sans l’Homme.

Fruit de sa collaboration avec Christophe Van Huffel, il joue pour l’hommage au chanteur Christophe, clin d’oeil émotionnel important de sa route derrière une batterie.

Pour l’attachement envers ce groupe, aux côtés de Dominique Perrier il refait naitre Space Art, groupe avant-gardiste de musique électronique aux 2 800 000 disques vendus.
Grâce à cette rencontre, il s’ouvre et s’épanouit de sa passion depuis l’enfance pour un univers électronique emprunt de rêveries.

Ce chemin l’amène à mélanger et compléter sa batterie avec ces sonorités et il développe un jeu autour des Moog et de la technologie Sensory Percussion.
Tommy joue suivant les projets avec un ou plusieurs synthétiseurs Moog sur sa gauche et une pléiade d’effets analogiques, créant ainsi des textures sonores qui feront partie de sa signature. 

 

C’est sur cette route qu’il travail avec Maxime Dangles. Ensemble ils forment une collaboration étroite entre sound design et musique électronique créant une performance immersive en son spatialisé pour le projet SONARS/CNRS, une rencontre entre art et science, initiée par la smac la Carène à Brest ainsi qu’un live AV en partenariat avec le théâtre l’Hexagone à Meylan, scène nationale arts et science.

Fruit de ses constantes recherches et expérimentations, le live solo de Tommy Rizzitelli , filmé au théâtre de la ville de Valence, est le croisement entre deux univers: celui de la batterie et celui des synthétiseurs analogiques. Il le pense comme une interview des sons  et le joue tel une peinture en constante improvisation.  

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